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La pandémie Covid-19 a profondément modifié le paysage de la prise en charge des patients souffrant de maladie chronique ou débilitante
descGeneral Itemblog|newsroom_frpublicationdatetypeofcontent|otherdate1669tcm:5568-1236124 Colorectal Cancer awareness<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><img src="/static/mcibe/images/MSD_MEP_WEB_altern_img.jpg" /><h2 class="sub-head-h">Le cancer colorectal est le 4ième cancer le plus présent en Belgique, et il atteint autant les femmes que les hommes.1.2</h2><p>Pour vous donner une idée, en 2018, 3572 femmes et 4288 hommes ont été diagnostiqués dans notre pays : c’est beaucoup, pensez-vous ?3 Sachez que ce qui est important, c’est de le diagnostiquer à temps ! En effet, lorsque ce cancer est diagnostiqué aux premiers stades, il pourra être traité plus facilement, moins longtemps, et la guérison sera plus rapide. Alors, agissez ! Connaissez vos facteurs de risque individuels, et parlez-en avec votre médecin. Soyez attentif aux signes d’alerte : des selles sanguinolantes, des crampes intestinales, une fatigue intense,…4 Et puis, faites- vous tester lorsqu’on vous le propose, c’est le meilleur moyen de prendre le cancer de court, à un stade précoce, traitable et guérissable !</p><img src="/static/mcibe/images/FR_colorectal_img_1.png" /><h3 class="txt_center">Quelques chiffres sur le cancer colorectal en Belgique</h3><img class="overlap-image" src="/static/mcibe/images/FR_colorectal_img_2.png" /><h3 class="blu_heading">Les facteurs de risque principaux : <sup>4</sup></h3><img src="/static/mcibe/images/colorectal_img_4.jpg" /><p>Découvrez la vidéo dans laquelle le Professeur Eric Van Cutsem ( KULeuven) et le Docteur Luc Colemont (Président de l’association stop au cancer du colon) parlent de ce cancer agressif et de l’importance de le dépister à grande échelle pour le traiter efficacement et rapidement.</p><!--
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<div data-vid="6234872682001" data-vtype="2" data-title="Cololatral_video-fr" class="video_marg"><img src="/static/mcibe/images/BGDO_FR_ST_OK.jpg" alt="Cololatral_video-fr" data-tracking-datalayer="{"event_category":"video","event_action":"access","event_label":"Neuromuscular transmission in clinical practice"}"/></div>
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</div>--><div class="video_image medvid"><video class="video-js" data-account="1905768940001" data-player="Bygqsn81yb" data-embed="default" controls="" data-video-id="6234872682001" data-playlist-id="" data-application-id="" /></div><h3 class="heading_tit">LE DÉPISTAGE EN PRATIQUE <sup>6</sup></h3><div class="table-colo"><table><tbody><tr><th class="fhead"> </th><th>Bruxelles</th><th>Wallonie</th><th>Flandre</th></tr><tr class="odd"><td class="fhead">POUR QUI ?</td><td class="boright">Les personnes de <strong>50</strong> à <strong>74 ans</strong></td><td class="boright">Les personnes de <strong>50</strong> à <strong>74 ans</strong></td><td>Les personnes de <strong>50</strong> à <strong>74 ans</strong></td></tr><tr class="even"><td class="fhead">COMMENT ?</td><td class="boright">Invitation par courrier postal pour aller chercher, <strong>à la pharmacie,</strong> un test à faire soi-même à domicile.</td><td class="boright">Invitation par courrier à aller, <strong>chez son médecin,</strong> chercher le test à faire soi-même à domicile</td><td>Réception, <strong>par courrier,</strong> d’un test à effectuer soi-même à domicile</td></tr><tr class="odd"><td class="fhead">EN SAVOIR PLUS</td><td class="boright"><a href="https://www.bruprev.be/fr/b" target="_blank">https://www.bruprev.be/fr/b</a></td><td class="boright"><a href="https://ccref.org/" target="_blank">https://ccref.org/</a></td><td><a href="https://dikkedarmkanker.bevolkingsonderzoek.be/" target="_blank">https://dikkedarmkanker.bevolkingsonderzoek.be/</a></td></tr></tbody></table></div><div class="accordion acc_ref references_section"><div class="accordion-tab accordion-tab_references"><input id="toggle7" type="checkbox" checked="checked" class="accordion-toggle" name="toggle" /><label for="toggle7"><span><strong>References</strong></span></label><div class="accordion-content"><ol><li><a href="https://fightcolorectalcancer.org/colorectal-cancer/facts-stats/" target="_blank">https://fightcolorectalcancer.org/colorectal-cancer/facts-stats/</a>, accessed on 02/2021.</li><li><a href="https://kankerregister.org/Statistieken_tabellen_jaarbasis" target="_blank">https://kankerregister.org/Statistieken_tabellen_jaarbasis</a> (C18-20), accessed on 02/2021 .</li><li>Belgian Cancer Registry – Cancer Fact Sheet Colorectal Cancer.</li><li><a href="https://www.cancer.be/les-cancers/types-de-cancers/cancer-du-gros-intestin-colorectal/sympt-mes" target="_blank">https://www.cancer.be/les-cancers/types-de-cancers/cancer-du-gros-intestin-colorectal/sympt-mes</a>, accessed on 02/2021.</li><li>IARC WHO – Globocan – Cancer today - Estimated number of new cases in 2020, Belgium, both sexes, all ages estimated number of deaths in 2020, Belgium, both sexes, all ages.</li><li><a href="https://stopcancercolon.be/" target="_blank">https://stopcancercolon.be/</a>, accessed on 02/2021.</li></ol></div></div></div></div></div>/static/mcibe/images/thumb-colatral.JPG<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Le cancer colorectal est le 4<sup>ième</sup> cancer le plus présent en Belgique, et il atteint autant les femmes que les hommes.<sup>1.2</sup></p>newsroom_fr/static/mcibe/images/thumb-colatral.JPGpublishDateTime2021-02-26T15:52:11assetIdtcm:5568-1236124pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotpublicationdate2021-02-24codexBE-NON-00767. Date of last revision: 24/02/2021typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1236126asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1235875Cancer du poumon et Covid-19: les recommandations de l’ESMO<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><img src="/static/mcibe/images/FR_ESMO_NSCLC.jpg" /><h2 class="sub-head-h">La pandémie Covid-19 a profondément modifié le paysage de la prise en charge des patients souffrant de maladie chronique ou débilitante, en particulier le cancer. Dans ce contexte, s’il faut fournir des soins opportuns, appropriés, compatissants et justifiés contre le cancer, il faut aussi que le praticien se protège et protège son patient contre l’infection par le SARS-CoV-2, ce qui a suscité l’élaboration de recommandations permettant d’assurer une prise en charge aussi efficiente que possible tout en limitant au maximum les perturbations au sein des services d’oncologie.</h2><p>Par ailleurs, les divers traitements contre le cancer nécessitent une évaluation et un abord spécifique et individuel: la chimiothérapie peut engendrer une suppression immunitaire transitoire, tandis que l’immunothérapie ou les inhibiteurs de la kinase tyrosine peuvent déclencher des changements pulmonaires inflammatoires, imitant et/ou aggravant les symptômes pulmonaires.</p><p>Dans ce cadre, l’ESMO a proposé une prise en charge spécifique structurée du cancer du poumon, avec trois niveaux de priorités:</p><ul class="dash_list"><li><img src="/static/mcibe/images/bullet-logo-hc.png" class="bullet-img-hc" /> un niveau 1 de haute priorité dans lequel l’état du patient est à risque mortel immédiat, cliniquement instable alors que les interventions possibles sont susceptibles d’engendrer un gain de survie global important et/ou une amélioration substantielle de la qualité de vie (QoL);</li><li><img src="/static/mcibe/images/bullet-logo-hc.png" class="bullet-img-hc" /> un niveau 2 de priorité moyenne dans lequel la situation du patient n’est pas critique, mais pour lequel un délai de plus de 6 à 8 semaines pourrait avoir une incidence sur le résultat global;</li><li><img src="/static/mcibe/images/bullet-logo-hc.png" class="bullet-img-hc" /> et un niveau 3 de faible priorité dans lequel l’état du patient est suffisamment stable pour permettre de retarder les services pendant toute la durée de la pandémie Covid-19 et/ou lorsque l’intervention ne modifie pas l’ampleur des avantages (aucun gain de survie ou QoL réduite par exemple).</li></ul><p>L’essentiel de cette prise en charge adaptée aux patients avec cancer du poumon peut être retrouvé sur le site de l’ESMO (1), les détails de cette prise en charge apparaissant dans un article circonstancié de l’ESMO Open en accès libre (2) qui reconsidère toutes les étapes du diagnostic, de la stadification, du traitement (médical, chirurgical, radiothérapique) et du suivi du cancer du poumon: consultations, imagerie…, de manière à limiter au maximum les allers-retours vers l’hôpital.</p><p>L’ESMO s’est attachée aussi à assurer la poursuite des essais cliniques en cours en proposant la réalisation d’amendements sur le suivi biologique et en imagerie des stratégies investiguées. Cependant, dans la mesure où les ressources ne sont pas réparties uniformément et que des cas de pénurie peuvent exister, les ressources disponibles devraient être réparties équitablement et les recommandations appliquées avec des nuances significatives, selon l’heure et l’emplacement de leur utilisation, compte tenu des contraintes variables imposées aux systèmes de santé.</p><div class="accordion acc_ref references_section"><div class="accordion-tab accordion-tab_references"><input id="toggle7" type="checkbox" checked="checked" class="accordion-toggle" name="toggle" /><label for="toggle7"><span><strong>References</strong></span></label><div class="accordion-content"><ol><li><a href="https://www.esmo.org/guidelines/cancer-patient-management-during-the-covid-19-pandemic/lung-cancer-in-the-covid-19-era" target="_blank">https://www.esmo.org/guidelines/cancer-patient-management-during-the-covid-19-pandemic/lung-cancer-in-the-covid-19-era.</a> Last accessed on 02/2021</li><li>Passaro A, Addeo A, Von Garnier C, et al. ESMO Management and treatment adapted recommendations in the COVID-19 era: Lung cancer. ESMO Open. 2020 Jun;5(Suppl 3):e000820.</li></ol></div></div></div><br /><p>Abbreviations: ESMO = European Society of Medical Oncology</p></div></div>/static/mcibe/images/FR_ESMO_NSCLC_thumb.png<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">La pandémie Covid-19 a profondément modifié le paysage de la prise en charge des patients souffrant de maladie chronique...</p>newsroom_fr/static/mcibe/images/FR_ESMO_NSCLC_thumb.pngpublishDateTime2021-03-05T11:46:56assetIdtcm:5568-1235875pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsCancer du poumon et Covid-19: les recommandations de l’ESMOspecialityexpirationdatehotpublicationdate2021-02-24codexBE-NON-00733 Date of last revision February 2021typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupOncologyassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1235884asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1211654COVID-19 : que sait-on ?<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><h2 class="sub-head-h">L’actualité dépasse souvent la fiction et tout le monde a en tête le film «Contamination». Ce scénario catastrophe ne devrait pas avoir lieu, mais cette pandémie est certainement un signe d’alerte qui pourrait préluder des infections plus graves.</h2><p>C’est de l’Empire du Milieu que l’épidémie a débuté en décembre. Le diagnostic des premiers cas a été établi sur base de symptômes cliniques correspondant à une pneumonie virale inconnue jusqu’alors. Grâce au développement du séquençage de dernière génération, les chercheurs ont pu comparer l’ADN viral à celui d’autres virus connus comme le SRAS ou le MERS dont les agents sont également des coronavirus, comme on sait. C’est ainsi que récemment, on a pu établir l’arbre phylogénétique de COVID-19 à partir de quelques patients.</p><p>Ces échantillons ont montré une correspondance génétique à 99,98% du COVID-19. Ils sont très éloignés du SRAS et du MERS puisque les correspondances génétiques ne sont que de 79 et 50% respectivement. Il est donc évident que COVID-19 et la pneumonie qu’il engendre constituent une nouvelle maladie. En revanche, COVID-19 se rapproche de deux de ses cousins retrouvés chez les chiroptères chinois. Bien que les analyses suggèrent que les chauve-souris pourraient être les hôtes originels du virus, il est probable qu’un autre animal vendu au marché aux poissons de Wuhan puisse avoir été un vecteur de la maladie. (1)</p><p class="boldhead">Dépister, diagnostiquer…</p><p>On le sait, la ruée sur les tests font craindre la pénurie, si elle n’existe pas déjà. On pourrait probablement même s’en passer dans un contexte non émotionnel. Mais ni les médias, ni les autorités ne participent vraiment à faire diminuer les craintes fondées ou non, mais légitimes, de nos concitoyens.</p><p>Les tests actuels posent, semble-t-il, plusieurs difficultés. Outre leur disponibilité, l’acheminement des échantillons dans certaines régions du monde fait défaut ; de plus, la performance même du test est mise en doute par certaines équipes. Aujourd’hui, seuls 30 à 60% des échantillons auraient donné des résultats positifs.</p><p>Des chercheurs estiment que bon nombre de patients risquent de passer entre les mailles du filet et donc de contaminer d’autres personnes rapidement. Des cliniciens chinois ont mené une étude afin de comparer la valeur diagnostique et la cohérence de l'imagerie par scanner thoracique par rapport au test RT-PCR pour la COVID-19. En tout, 1.014 patients y ont participé. Ceux-ci ont bénéficié conjointement des deux examens. La PCR inverse a été considérée comme le test standard servant de référence. Pour les patients ayant bénéficié de plusieurs tests PCR, la conversion dynamique des tests de négatif à positif ou positif à négatif a également été analysée par rapport aux scanners thoraciques en série.</p><p>Sur l’ensemble, 601 patients (59 %) avaient des résultats positifs à la PCR, et 888 (88 %) avaient des CT scans thoraciques positifs. La sensibilité du scan thoracique pour le COVID-19 était de 97 %, sur la base de résultats positifs PCR. Chez les patients dont les résultats de la PCR étaient négatifs, 75 % (308 sur 413 patients) ont eu des résultats positifs au scanner. Parmi ceux-ci, 48 % étaient des cas très probables, avec 33 % comme des cas probables. L'analyse des tests et des scanners en série a montré que l'intervalle entre les résultats initiaux négatifs et positifs de la PCR était de 4 à 8 jours. Selon leur analyse, environ 81 % des patients ayant obtenu des résultats négatifs à la PCR, mais des résultats positifs au scan thoracique ont été reclassés comme cas hautement probables ou probables avec COVID-19. (2)</p><p class="boldhead">Prévention, transmission et traitement ?</p><p>Ces analyses sont intéressantes en elles-mêmes, car elles devraient alerter les autorités sur l’aspect sanitaire. D’autres chercheurs ont réussi à déterminer la structure même des spicules du virus. Ceci pourrait servir à la mise au point d’un vaccin. Des traitements sont en cours de recherche. Une information intéressante, et qui n’a peut-être pas assez été exploitée, est le fait que COVID-19 utilise le récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 pour se fixer et entrer dans les cellules pulmonaires. Or, avec le virus du SRAS, il a été démontré que ce récepteur était essentiel pour la transmission du virus. Toutefois sur des modèles animaux, on a aussi montré que le lisinopril et le losartan pouvaient augmenter respectivement de 5 et 3 fois l’expression cardiaque du récepteur à l’ACE-2. Dans tous les cas, il est indispensable de recommander aux patients cardiaques et/ou hypertendus de bien poursuivre leur traitement, car ils sont plus à risque que d’autres.</p><p>La seule prévention efficace, en l’absence de vaccin, semble bien être le confinement. Pour draconiennes qu’elles soient, ces mesures d’isolement ont permis (semble-t-il) de réduire le nombre de nouveaux cas en Chine. La transmissibilité du virus est aérienne et par contact physique. Les données actuelles indiquent qu’il n’existe pas de contamination verticale de la mère à l’enfant via le placenta. (3) La question demeure quant à une possible transmission oro-fécale. En effet, certains patients infectés présentent des symptômes gastro-intestinaux. Le virus procèderait ici de la même manière que pour l’infection pulmonaire, profitant de l’abondance du récepteur ACE-2 dans le tractus digestif. Notre expérience avec le SRAS montre aussi que le virus peut atteindre le foie. Le problème, selon des chercheurs chinois, est que la transmission oro-fécale pourrait très bien survenir même après une clairance parfaite du virus au niveau pulmonaire. La positivité des selles pour COVID-19 se situait entre 1 et 12 jours et les échantillons fécaux de 23% des patients sont demeurés positifs même après la conversion négative des échantillons respiratoires. (4)</p><p><img src="/static/mcibe/images/covid-19-info.jpeg" alt="" title="COVID name" class="mid-img" /></p><p class="boldhead">Agir ensemble !</p><p>La conclusion est que nous ignorons encore beaucoup au sujet de cette nouvelle maladie et qu’actuellement, seuls le confinement et les mesures d’hygiène élémentaire ont réussi à le contenir. Or il est à craindre que ce ne soient les prémisses de nouvelles infections auxquelles nous devrons faire face dans les années futures. Sans jouer les Cassandre, il y a fort à parier que les changements climatiques associés à une exploitation de zones encore vierges permettent l’émergence de pathogènes jusqu’ici inconnus et contre lesquels nous ne disposons d’aucune immunité. Trois axes devraient donc être développés pour tenter d’enrayer le plus rapidement possible ce genre de propagation. Le premier s’appuie sur la recherche fondamentale permettant de prévoir ces infections émergentes, de modéliser le mieux possible leur propagation et de chercher des nouvelles voies de prévention. Le deuxième tient dans la recherche appliquée permettant de mettre en œuvre rapidement des tests, des vaccins et des traitements. Le troisième réside dans une politique globale d’études environnementales non plus pays par pays, mais à l’échelle de continents afin de déterminer les risques et de prendre des mesures conjointes.</p><p class="boldhead">Pierre Dewaele</p><div class="ref-tab"><div class="tabs"><div class="tab"><input type="checkbox" id="chck1" /><label class="tab-label" for="chck1">Références</label><div class="tab-content"><ol><li><p><a href="https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30251-8/fulltext" target="_blank">https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30251-8/fulltext</a></p></li><li><p><a href="https://pubs.rsna.org/doi/10.1148/radiol.2020200642" target="_blank">https://pubs.rsna.org/doi/10.1148/radiol.2020200642</a></p></li><li><p><a href="https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30360-3/fulltext" target="_blank">https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30360-3/fulltext</a></p></li><li><p><a href="https://www.gastrojournal.org/article/S0016-5085(20)30282-1/pdf?referrer=https%3A%2F%2Fwww.medpagetoday.com%2Finfectiousdisease%2Fcovid19%2F85315" target="_blank">https://www.gastrojournal.org/article/S0016-5085(20)30282-1/pdf?referrer=https%3A%2F%2Fwww.medpagetoday.com%2Finfectiousdisease%2Fcovid19%2F85315</a></p></li></ol></div></div></div></div></div></div>/static/mcibe/images/covid.jpg/static/mcibe/images/covid-19-info-ban.jpeg
<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">C’est de l’Empire du Milieu que l’épidémie a débuté en décembre.</p>newsroom_fr/static/mcibe/images/covid.jpgpublishDateTime2021-03-08T05:16:11assetIdtcm:5568-1211654pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotYespublicationdate2020-10-15codexBE-NON-00778 Date of last revision 03/2021typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeOtherassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1213059asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1212087COVID-19 et risque cardiovasculaire<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><h2 class="sub-head-h">Les patients à haut risque cardiovasculaire constituent une part importante des malades chroniques suivis par les médecins traitants dans notre pays. En quoi la COVID-19 influence-t-elle les choses pour ces patients ? Nous avons interrogé à ce sujet le professeur Philippe van de Borne (ULB), cardiologue à l’hôpital Erasme.</h2><p>Interview du Prof. Van de Borne
<br /><img src="/static/mcibe/images/vandebornebanner.png" alt="" title="van de borne" /></p><p><span class="sub-p-small">(auteur: Dominique Léotard, Tempo Médical-Medisquare)</span></p><p class="boldhead">Quels conseils donner aux patients à haut risque cardiovasculaire durant cette pandémie ?</p><p><span class="boldhead">Pr. van de Borne :</span> Les patients à haut risque cardiovascualire (CV) semblent être plus à risque de présenter des symptômes sévères de COVID-19 et de devoir être hospitalisés s’ils sont infectés. Mais il ne faut pas oublier que le facteur de risque principal, c’est l’âge, un facteur de risque partagé avec les maladies CV. Par conséquent, il convient d’éviter au maximum la contamination de ces patients, surtout s’ils sont âgés de plus de 65 ans, en adoptant les gestes de base : isolement, distanciation sociale et protection physique.
<br />
Mais surtout, il faut continuer à rester attentif à ces patients, continuer à les traiter, ne pas passer à côté d’un diagnostic d’événement CV, etc… ! Il semble en effet qu’il y ait moins d’admissions en urgence cardiologique que d’habitude, que les patients soient plus hésitants à appeler un médecin ou le SAMU, qu’ils meurent peut-être d’un infarctus chez eux… Il faut éviter d’avoir une autre vague de mortalité imputée à un manque de soins des patients cardiaques ou à haut risque CV.</p><p><span class="sub-p-small">CV= cardiovasculaire</span></p><p class="boldhead">Y a-t-il des symptômes communs à la maladie cardiovasculaire et l’infection virale ?</p><p><span class="boldhead">Pr. van de Borne</span> Les symptômes classiques de COVID sont en premier lieu ceux d’un syndrome grippal, avec atteinte des voies respiratoires supérieures, fièvre puis une dyspnée secondaire à une insuffisance respiratoire. Mais le tableau clinique présenté par les COVID-19 positifs peut être très varié : parfois des symptômes digestifs, parfois cutanés, de la confusion, et dans certains cas des atteintes cardiaques. Quand les taux de troponine augmentent, c’est généralement dans un contexte de souffrance multi-organique, qui est alors de mauvais pronostic.</p><p class="boldhead">Existe-t-il des interactions spécifiques entre les traitements cardiovasculaires et l’hydroxychloroquine ?</p><p><span class="boldhead">Pr. van de Borne</span> L’hydroxychloroquine, utilisée depuis longtemps contre le paludisme, est plutôt bien tolérée et sûre pour la population générale. Chez le patient cardiaque, plus fragile et soumis à divers traitements médicamenteux, il faut être plus prudent. Un risque d’allongement de l’intervalle QT est décrit avec l’hydroxychloroquine, et il faut évidemment éviter des torsades de pointe chez ces patients. On sera donc particulièrement prudents en cas de co-médication avec une série de molécules telles que l’amiodarone ou le sotalol par exemple, ou encore certains antidépresseurs, antibiotiques, antifongiques ou antihistaminiques, etc... Rappelons aussi que l’hydroxychloroquine n’a pas encore fait preuve de son efficacité, elle fait l’objet d’études cliniques en cours, et son utilisation est, dans tous les cas, soumise à un suivi cardiologique rigoureux.</p><p><img src="/static/mcibe/images/covid-19-info.jpeg" alt="" title="COVID name" class="mid-img" /></p><p><span class="sub-p-small">Ceci est une communication des laboratoires MSD. Ce numéro a été réalisé grâce au support de MSD. Son contenu reflète l’opinion des auteurs mais pas nécessairement celle de MSD. Pour de plus amples informations concernant les produits cités dans ces articles, veuillez consulter la notice scientifique du fabricant.</span></p></div></div>/static/mcibe/images/thumb-nr-4.jpg<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Les patients à haut risque cardiovasculaire constituent une part importante des malades...</p>newsroom_fr/static/mcibe/images/thumb-nr-4.jpgpublishDateTime2021-01-28T12:12:46assetIdtcm:5568-1212087pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotYespublicationdate2020-04-28codexBE-ATO-00036 | Date of last revision: 04/2020typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeOtherassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1212993asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1212041COVID-19 : traitement, vaccins et rumeurs<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><h2 class="sub-head-h">Toute épidémie engendre son lot de rumeurs et son flot d’informations aussi imprécises que contradictoires. A la crise infectieuse due au coronavirus, il faut ajouter une crise de confiance largement alimentée par les mouvements complotistes… Il est donc intéressant de faire le point sur ce que l’on sait et surtout ce que l’on ne sait pas…</h2><p>Avec plusieurs dizaines de milliers de cas de personnes infectées et plusieurs milliers de morts, le COVID-19 constitue certainement l’une des pandémies les plus graves, peut-être pas encore en termes de décès, mais en tout cas en ce qui concerne son impact sociétal. L’incertitude constitue le principal moteur de la peur, voire de la panique, de nos concitoyens. Actuellement, même si beaucoup y travaillent, nous ne disposons encore ni de médicaments spécifiques ni d’un vaccin thérapeutique ou prophylactique efficace. La Commissaire européenne à la Recherche, Mariya Gabriel (Bulgarie), a annoncé que 136 équipes de chercheurs travaillent à la mise au point d’un vaccin. Selon leurs estimations, celui-ci pourrait être disponible d’ici un an. Cependant, il existe de nombreux écueils qui jalonnent le parcours d’un vaccin. De plus, il est possible qu’au vu des mutations que le virus subit au cours de son tour du monde, la divergence antigénique rende difficile cette mise au point. La semaine dernière, l’OMS listait 25 candidats vaccins possibles. Il n’existe aucune certitude sur le délai préalablement fixé, ni même sur la capacité de l’industrie à répondre à la demande. Bien que le vaccin contre la grippe saisonnière est produit en quelques semaines, pour le COVID-19, le processus n’est pas encore connu.</p><p><img src="/static/mcibe/images/covid-mask.jpeg" alt="" title="COVID mask" class="mid-img" /></p><p>Concernant les traitements, on sait que le coronavirus se fixe sur les récepteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2. Mais il serait faux de penser que cette piste est la seule à être explorée. En tout, plus de 60 demandes de brevet ont déjà été déposées concernant un traitement potentiel contre le COVID-19, et il est très probable que ce nombre va continuer à augmenter au fur et à mesure que la pandémie gagne du terrain. Côté rumeurs, on ne manquera pas de citer l’intervention fracassante du Pr. Didier Raoult (Marseille, France), microbiologiste de renommée internationale, concernant la chloroquine. Rappelons qu’aux dosages proposés par les chercheurs chinois dans leur lettre de recherche parue dans BioScience Trends (1), à savoir 2 x 500mg, les effets secondaires sont tels qu’ils ne permettent pas que le médicament soit administré aux personnes de plus de 65 ans. Or ce sont bien ces personnes qui paraissent les plus sensibles au COVID-19. Néanmoins, on ne peut pas rejeter d’emblée l’hypothèse. D’autres traitements ont montré une efficacité contre d’autres coronavirus comme le lopinavir-ritonavir, développé contre le VIH et efficace contre le SRAS. Certains groupes de recherche testent également des traitements antigrippaux contre le COVID-19. Donc, actuellement, seules les mesures de confinement strict ont fait leurs preuves pour prévenir que la pandémie ne se répande encore plus rapidement. Il faudra donc prendre notre mal en patience…</p><p>Pierre Vervaecke</p><div class="ref-tab"><div class="tabs"><div class="tab"><input type="checkbox" id="chck1" /><label class="tab-label" for="chck1">Références</label><div class="tab-content"><ol><li><p>Jianjun Gao, Zhenxue Tian, Xu Yang Breakthrough: Chloroquine phosphate has shown apparent efficacy in treatment of COVID-19 associated pneumonia in clinical studies <a href="https://www.jstage.jst.go.jp/article/bst/advpub/0/advpub_2020.01047/_article" target="_blank">https://www.jstage.jst.go.jp/article/bst/advpub/0/advpub_2020.01047/_article</a></p></li></ol></div></div></div></div></div></div>/static/mcibe/images/thumb-nr-3.jpg<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Toute épidémie engendre son lot de rumeurs et son flot d’informations aussi imprécises que contradictoires.</p>newsroom_fr/static/mcibe/images/thumb-nr-3.jpgpublishDateTime2021-03-08T05:14:23assetIdtcm:5568-1212041pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotpublicationdate2020-04-28codexBE-NON-00778 Date of last revision 03/2021typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeOtherassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1213077asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1212011COVID-19: qui est à risque?<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><h2 class="sub-head-h">Les informations concernant le COVID-19 submergent les réseaux sociaux et les journaux spécialisés. A ce titre, il est utile de faire le point sur ce que l’on sait actuellement Afin d’estimer correctement le risque lié à l’infection due à ce virus.</h2><p>L’étude la plus récente à ce sujet vient de Chine, ce qui semble logique puisque c’est de ce pays qu’est venue la pandémie et que ce sont les scientifiques chinois qui ont le plus d’expérience par rapport au COVID-19.</p><p>Dans cette étude de cohorte rétrospective et multicentrique parue dans le <em>Lancet</em>, les auteurs ont inclus tous les patients adultes hospitalisés (≥18 ans) dans deux hôpitaux de la région de Wuhan, chez qui le COVID-19 a été confirmé en laboratoire.</p><p><img src="/static/mcibe/images/covid-19-2.jpeg" alt="" title="elderly top" class="mid-img" /></p><p class="boldhead">Attention fragiles!</p><p>En tout, 191 patients (135 de l'hôpital de Jinyintan et 56 de l'hôpital de Wuhan) ont été inclus dans cette étude. Sur l’ensemble, 137 ont été guéris et 54 sont morts à l'hôpital. Parmi ces personnes, 91 patients (48%) présentaient une ou plusieurs comorbidités: 58 avaient de l’hypertension, 36 étaient diabétiques et 15 souffraient de maladies coronariennes.</p><p>L’analyse par régression multivariée a montré que la probabilité de décès à l'hôpital augmentait de 10% par année à un âge plus avancé. Un taux de D-dimères supérieur à 1µg/mL a été associé à un risque de décès 18 fois plus important. Par ailleurs, lorsque les défaillances systémiques (SOFA) étaient importantes, le risque est multiplié par 5.</p><p>Les auteurs estiment que les facteurs de risque potentiels tels que un âge avancé, un score SOFA élevé et un dosage des D-dimères supérieur à 1 μg/mL, pourraient aider les cliniciens à identifier les patients dont le pronostic est mauvais à un stade précoce. Au vu de l’excrétion virale prolongée, une stratégie d’isolement des patients infectés ainsi que des interventions antivirales optimales sont justifiées à l’avenir.</p><p class="boldhead">Pas que les personnes âgées…</p><p>Bien entendu, les patients présentant un déficit immunitaire acquis ou induit doivent être particulièrement protégés. Récemment, des rapports de cas ont montré que le traitement par des anti-inflammatoires non-stéroïdiens pouvait engendrer une aggravation de la symptomatologie. C’est pourquoi la prise de ces médicaments doit être évitée dans la mesure du possible pour les patients symptomatiques ainsi que pour les patients sous AINS pour une autre raison sur avis médical. Pour les patients souffrant de maladies auto-immunes traitées par immunomodulateurs, il est essentiel qu’ils contactent leur médecin traitant afin de savoir sous quelle modalité il est possible de suspendre leur traitement. Pour les femmes enceintes, il n’existe à l’heure actuelle aucune recommandation particulière. Aucune donnée n’indique pour le moment un passage par la barrière placentaire ou dans le lait maternel. Actuellement, peu de données sont disponibles et les connaissances progressent rapidement…</p><p>Pierre Vervaecke</p><div class="ref-tab"><div class="tabs"><div class="tab"><input type="checkbox" id="chck1" /><label class="tab-label" for="chck1">Références</label><div class="tab-content"><ol><li><p>Fei Zhou, Ting Yu, Ronghui Du et al. Clinical course and risk factors for mortality of adult inpatients with COVID-19 in Wuhan, China: a etrospective cohort study The Lancet</p></li></ol></div></div></div></div></div></div>/static/mcibe/images/thumb-nr-2.jpg<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Les informations concernant le COVID-19 submergent les réseaux sociaux et les journaux spécialisés.</p>newsroom_fr/static/mcibe/images/thumb-nr-2.jpgpublishDateTime2021-03-08T05:18:23assetIdtcm:5568-1212011pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotpublicationdate2020-04-02codexBE-NON-00778 Date of last revision 03/2021typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeOtherassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1213062asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00