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Francis de Drée a dirigé pendant 5 ans le CHU Brugmann; il est actuellement le nouveau CEO de l’Institut Bordet (160 lits et plus de 29.000 patients), qui va bientôt déménager vers son nouveau site à quelques mètres de l’hôpital Érasme sur le campus de l’ULB. Il est également le président de Hospitals.be, l’Association Belge des Hôpitaux .
General Itemtypeofcontent|otherblog|hospitalconnect_fr19129tcm:5568-1234643Le pharmacien hospitalier au cœur de la vaccination Covid (Dominique Wouters)<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><img src="/static/mcibe/images/dominique_wouters.png" alt="" class="mid-img" /><h2 class="sub-head-h">Les pharmacies hospitalières ont joué un rôle central depuis le début de la vaccination Covid grâce à leur personnel très qualifié et aux équipements disponibles dans les hôpitaux tels que les congélateurs ULT, qui permettent de descendre à une température de -75°C. Elles ont rapidement pu être le cœur des <span class="lquote"> </span>hubs<span class="rquote"> </span> qui ont permis une vaccination efficace des maisons de repos dans un premier temps et du personnel hospitalier ensuite.</h2><p><em><span class="lquote"> </span>Fin 2020, nous avons très vite été contactés par la</em> Task Force <em>pour organiser la délivrance des vaccins au vu des modes de conservation compliqués, notamment pour les vaccins BioNTech-Pfizer et Moderna, pour maîtriser la chaîne du froid. Un groupe de travail de l’Association belge des pharmaciens hospitaliers a collaboré à la mise en place d’un plan efficace décrivant toutes les étapes de la livraison jusqu’à</em><em>l’administration<span class="rquote"> </span>,</em> explique Dominique Wouters, la présidente de l’Association belge des pharmaciens hospitaliers (ABPH-BVZA). <em><span class="lquote"> </span>La délivrance aux maisons de repos et de soins a représenté un défi. Nous avons évidemment dû tenir compte de la complexité institutionnelle de la Belgique afin de procéder aux mêmes démarches dans chaque Région. Nous avons ensuite fait des tests dans les hôpitaux hubs pour être certain que toutes les procédures écrites étaient applicables pour l’approvisionnement des maisons de repos à température de frigos.<span class="rquote"> </span></em></p><p><strong>Adapté à chaque vaccin</strong><br />
L’AFMPS, début décembre, a travaillé en concertation avec les pharmaciens hospitaliers, en s’appuyant sur les informations du fabricant. Les pharmaciens ont aussi été vigilants au nombre de doses dans les flacons de vaccins: <em><span class="lquote"> </span>Oui, nous avons pu prendre 6 doses dans le flacon à l’aide de seringues munies d’un espace mort réduit.<span class="rquote"> </span></em></p><p>Rapidement, un autre vaccin s’est intégré au schéma: <em><span class="lquote"> </span>Nous avons ensuite géré la vaccination du vaccin Moderna, qui nécessite une conservation dans un congélateur à -20. Pour ce vaccin-là, il était important de l’administrer au plus près de la décongélation, ce qui nous a amenés à rédiger de nouvelles procédures.<span class="rquote"> </span></em></p><p class="mrg_top">Sur le terrain, l’inspection de la pharmacie veille au bon déroulement du processus complet, et ce jusque dans les maisons de repos. <em><span class="lquote"> </span>Cela a eu des effets positifs dans les maisons de repos notamment, puisque cela a permis une meilleure conservation de l’ensemble des médicaments en réexaminant les processus en vigueur dans chaque lieu.<span class="rquote"> </span></em></p><p><strong>Préparer et délivrer</strong><br />
L’importance du pharmacien hospitalier dans la chaîne des soins de santé sort renforcée par cette crise. <span class="lquote"> </span><em>En effet, son rôle tant dans la préparation du médicament qu’au niveau de sa délivrance a été reconnu.</em><span class="rquote"> </span> Et cet impact n’est pas terminé, loin de là: <em><span class="lquote"> </span>Même dans les centres de vaccination, il faudra un pharmacien, pas nécessairement, hospitalier. Les entités fédérées devront choisir un pharmacien avec qui ils vont travailler. En effet, seul un pharmacien peut réceptionner un médicament ou un vaccin pour en assurer la délivrance.<span class="rquote"> </span></em></p><p><strong>Les entités fédérées gèrent les volumes</strong><br />
La vaccination du personnel de soins des hôpitaux est actuellement en cours. <em><span class="lquote"> </span>Si l’on fait abstraction des problèmes d’approvisionnement dus aux firmes, tout se passe bien.<span class="rquote"> </span></em></p><p class="mrg_top">Qui détermine le nombre de doses acheminées dans les institutions? <em><span class="lquote"> </span>Pour les maisons de repos, par exemple, à Bruxelles, c’est la Cocom qui gère les stocks. Elle nous donne des tableaux avec les institutions concernées et le nombre de doses nécessaires à la vaccination des résidents et du personnel. Tous les transports sont assurés par une firme spécialisée unique (Medista). Ce sont donc les entités fédérées qui gèrent les volumes de vaccins.<span class="rquote"> </span></em></p><p>À présent, le vaccin AstraZenaca vient s’ajouter à la liste des vaccins approuvés par l’EMA: <em><span class="lquote"> </span>Nous avons reçu des instructions pour la vaccination du personnel de moins de 55 ans, ce qui demande une réorganisation des plannings de vaccination dans les hôpitaux.<span class="rquote"> </span></em> Cela va amener les hôpitaux à avoir deux vaccins différents dans leur institution. <em><span class="lquote"> </span>Logistiquement, nous devons tous être très attentifs à cette nouvelle organisation en séparant bien les deux vaccinations. Par exemple, en organisation des journée de vaccination par vaccin ou en organisant des lieux d’accueil différents.<span class="rquote"> </span></em></p><p><strong>Un impact positif pour le métier</strong><br />
Cette crise a un autre impact positif pour la profession: <em><span class="lquote"> </span>Elle a mis en lumière l’importance du pharmacien hospitalier. Elle pourrait susciter des vocations pour cette profession, qui est souvent cachée dans les caves des hôpitaux.<span class="rquote"> </span></em> Pour rappel, le pays compte 1.000 pharmaciens hospitaliers sur l’ensemble du pays, dont 60% de néerlandophones et 40% de francophones.</p><p>Les pharmacies hospitalières devraient aussi recevoir une aide du gouvernement fédéral. Le ministre Vandenbroucke a en effet promis un financement adapté pour le travail et la logistique spécifique de cette vaccination...</p><p class="small_txt">Ceci est une communication des laboratoires MSD.
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Ce numéro a été réalisé grâce au support de MSD. Son contenu reflète l’opinion des auteurs mais pas nécessairement celle de MSD.</p></div></div>/static/mcibe/images/dominique_wouters_banner.pngNo/static/mcibe/images/dominique_wouters_thumb.png<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Chaque année, le mois de mai est consacré à la sensibilisation au mélanome. Une sensibilisation...</p>hospitalconnect_fr/static/mcibe/images/dominique_wouters_thumb.pngpublishDateTime2021-03-23T07:26:17assetIdtcm:5568-1234643pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotpublicationdate2021-02-19codexLast date of revision 02/2021 - BE-NON-00759typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1234766asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1234655La société a redécouvert l’importance de l’hôpital<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><img src="/static/mcibe/images/francis_de_dr%C3%A9e.png" alt="" class="mid-img" /><h2 class="sub-head-h">Francis de Drée a dirigé pendant 5 ans le CHU Brugmann; il est actuellement le nouveau CEO de l’Institut Bordet (160 lits et plus de 29.000 patients), qui va bientôt déménager vers son nouveau site à quelques mètres de l’hôpital Érasme sur le campus de l’ULB. Il est également le président de Hospitals.be, l’Association Belge des Hôpitaux .</h2><p><em><span class="lquote"> </span>Ce déménagement est un défi. C’est magnifique. Les premiers patients seront accueillis à la fin du mois de novembre. On passe de 35.000 à 80.000m2. Les trajets au sein de l’hôpital pour les patients seront de plus en plus courts et mieux organisés. Le personnel va pouvoir travailler dans de meilleures conditions, avec notamment des puits de lumière.<span class="rquote"> </span></em></p><p>À quelques mois d’intégrer un nouveau site, il est pleinement plongé dans les défis du monde hospitalier au quotidien: <em><span class="lquote"> </span>Nous devons continuer à penser à l’hôpital sans Covid, avec des défis comme la digitalisation et l’évolution de la téléconsultation, que l’on va naturellement intégrer vu l’accélération de cet aspect depuis le début de la pandémie. Cette évolution aurait pris 5 ou 10 ans sans la crise. Il faut pérenniser le modèle tout en maintenant la qualité et l’importance de la consultation physique.<span class="rquote"> </span></em></p><p><strong>Le financement</strong><br />
Cela ne doit toutefois pas faire oublier les priorités du secteur, comme la révision du financement. <em><span class="lquote"> </span>Il doit être adapté aux missions. Pendant la crise, l’importance des hôpitaux a grandi pour la société, alors que l’activité diminuait, et donc son financement ‘classique’… Cela montre le côté paradoxal du système. Le financement devrait mieux être adapté à des projets qu’à des actes. Ce n’est pas quelque chose qui peut se réformer en deux semaines. Énormément de prestataires sont financés à l’acte, et de nombreux médecins sont preneurs d’une réforme et d’une évolution...<span class="rquote"> </span></em></p><p><strong>La recherche et l’innovation</strong><br />
Le monde d’aujourd’hui va aussi rapprocher l’hôpital de la recherche et de l’innovation. <em><span class="lquote"> </span>Pour certains traitements thérapeutiques et vaccins, on a réussi à compresser les délais. Il faut un lien très fort entre la recherche, l’hôpital et l’université.<span class="rquote"> </span></em> Pour lui, il est essentiel que l’hôpital soit plus proche, avec les équipes hospitalières, des incubateurs de santé: <em><span class="lquote"> </span>Il faut penser à mieux lier la technologie et l’hôpital.<span class="rquote"> </span></em></p><p><strong>La crise du Covid</strong><br />
L’hôpital ne sera toutefois plus jamais le même après cette crise. <em><span class="lquote"> </span>La reconnaissance du rôle sociétal est là: les hôpitaux sont un bouclier sanitaire, l’ultime rempart. La société a redécouvert l’importance de l’hôpital et son rôle médico-social. Au-delà de soigner, c’est un lieu de vie. Cela a permis de raffermir les liens et de retrouver des discussions et des dialogues avec les autorités politiques des différents niveaux, les maisons de repos, les médecins généralistes…<span class="rquote"> </span></em> Pour Francis de Drée, à ce niveau, <em><span class="lquote"> </span>on a retissé des liens entre tous ces acteurs des soins de santé. Dans une période de crise comme celle-ci, les frontières disparaissent et il y a une solidarité. On retrouve de la reconnaissance envers le personnel et on pense davantage à ses conditions de vie…<span class="rquote"> </span></em></p><p>Pourtant, au quotidien, depuis 1 an, les journées ont été longues pour tous les acteurs de l’hôpital. <em><span class="lquote"> </span>Il a fallu écrire des normes en urgences: accueillir le patient, assainir les lieux, gérer les flux d’arrivée de patients, permettre les visites ou pas, avoir un accompagnant… On a aussi mis en place des outils pour faire circuler au mieux la communication vers le personnel, que cela soit pour la vaccination ou d’autres aspects afin d’éviter notamment les fake news…<span class="rquote"> </span></em></p><p><strong>Un employeur majeur</strong><br />
En plus de son poste de CEO, Francis de Drée est également le président de Hospitals.be, l’Association Belge des Hôpitaux. À ce titre, il bénéficie d’une vision transversale du secteur: <em><span class="lquote"> </span>Notre grande priorité est de mettre en avant le rôle sociétal de l’hôpital. On l’oublie, mais 150.000 personnes sont employées par les hôpitaux. Il s’agit d’un secteur avec beaucoup de sens qui n’est pas délocalisable. On a tendance à oublier sa force économique. Les hôpitaux répondent à un vrai besoin. Parfois, on entend qu’on aime les prestataires… Mais pas l’hôpital lui-même. Ce raisonnement doit changer. Enfin, notre volonté n’est pas de faire du profit, c’est important de le rappeler.<span class="rquote"> </span></em></p><p class="small_txt"><strong>Ceci est une communication des laboratoires MSD.
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Ce numéro a été réalisé grâce au support de MSD. Son contenu reflète l’opinion des auteurs mais pas nécessairement celle de MSD.</strong></p></div></div>/static/mcibe/images/francis_de_drée_banner.pngNo/static/mcibe/images/francis_thumb.png<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Francis de Drée a dirigé pendant 5 ans le CHU Brugmann; il est actuellement le nouveau CEO de l’Institut Bordet...</p>hospitalconnect_fr/static/mcibe/images/francis_thumb.pngpublishDateTime2021-03-23T07:48:18assetIdtcm:5568-1234655pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotpublicationdate2021-02-19codexLast date of revision 02/2021 - BE-NON-00759typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1236148asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1234995La télémédecine en oncologie est une priorité (Azèle Mathieu – MSD Belgium)<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><div style="width: 100%; text-align: left;"><img src="/static/mcibe/images/az%C3%A8le_mathieu%20.png" style="max-width: 235px;" /></div><h2 class="sub-head-h">Depuis 3 mois, Azèle Mathieu s’est engagée dans un nouveau défi en rejoignant l’équipe d’Eric Montariol chez MSD Belgium comme <em>Innovation Lead-Associate Director</em>. L’ex-manager de lifetech.brussels poursuit son investissement dans les innovations liées à la santé.</h2><p><em><span class="lquote"> </span>Cette fonction a été créée dans un secteur en développement. Ce nouveau poste me permet de poser des ponts entre l’e-santé, la technologie et le secteur pharma, avec en son centre le citoyen et le patient. La santé est un secteur qui fonctionne traditionnellement en silos. On veut que nos projets soient co-créés avec les utilisateurs, les prescripteurs, les hôpitaux, les patients... L’expérience des patients est critique pour nous. Notre objectif est de créer des solutions concrètes pour le patient qui vont au-delà du fait de développer et de commercialiser des médicaments. La volonté est d’identifier les opportunités et les partenariats pour améliorer l’expérience du patient.<span class="rquote"> </span></em></p><p><strong>La télémédecine, l’avenir</strong><br />
Pour Azèle Mathieu, l’un des premiers chantiers est celui de la télémédecine. <em><span class="lquote"> </span>Pour le moment, j’explore comment la télémédecine peut améliorer la vie des patients principalement en oncologie.</em> (Lire aussi: <a style="color: #0000ff; text-decoration:underline; font-size:16px;" href="https://www.numerikare.be/fr/actualites/medical/des-soins-virtuels-pour-les-cancers-dans-les-hopitaux.html" target="_blank">Des soins virtuels pour les cancers dans les hôpitaux</a>) <em>Nous voulons vraiment réfléchir à des solutions complètes pour le patient qui ne se limitent pas à la seule prise de médicament mais s’intègrent dans son trajet de soins. Nous allons participer au Hackathon <a style="color: #0000ff; text-decoration:underline; font-size:16px;" href="https://hackbelgiumlabs.be/hack-healthcare/" target="_blank">Hack Healthcare</a> les 27-28 avril, où il y aura 3 grands thèmes abordés, dont l’un que nous proposons sur la télémédecine.<span class="rquote"> </span></em></p><p>À cette occasion, les acteurs de terrain valideront les hypothèses de base que nous avons par rapport à la télémédecine et son utilité en oncologie. <em><span class="lquote"> </span>L’avantage d’un Hackathon réside dans le fait que l’on y vient avec une problématique et que celle-ci est validée et parfois solutionnée par des parties tierces, dont des partenaires technologiques potentiels mais aussi et surtout les utilisateurs potentiels futurs de ces nouvelles solutions. Vu le taux grandissant de consultations se réalisant à distance, nous observons que cela peut désengorger les hôpitaux. On va aussi écouter les attentes des patients à ce niveau et tenir compte des perspectives et des besoins des médecins. Est-ce que cela se situe plus au niveau de la prévention, du diagnostic? Au niveau du traitement? Comment peut-on allier cela avec les plateformes de concertation déjà utilisées par le corps médical?<span class="rquote"> </span></em></p><p>Elle précise son approche: <em><span class="lquote"> </span>Notre force est de développer des produits pharmaceutiques, et nous nous appuyons sur des partenaires extérieurs pour développer notre télémédecine, que cela soit des start-up ou des sociétés plus établies.<span class="rquote"> </span></em></p><p><strong>Hôpital-domicile: rester accessible pour le patient</strong><br />
Toutes ces recherches se font évidemment en tenant compte du lien du patient avec l’hôpital et de son domicile. <em><span class="lquote"> </span>L’idée de la télémédecine en oncologie est évidemment de permettre un suivi pour le patient tant à l’hôpital qu’à domicile. Il faut toujours assurer un soin de qualité et le désengorgement des hôpitaux. Cette démarche est d’autant plus pertinente dans la situation actuelle de pandémie. La santé digitale et les dispositifs médicaux peuvent aider pour les soins à distance.<span class="rquote"> </span></em></p><p>Elle tient évidemment compte de tous les publics. <em><span class="lquote"> </span>Nous sommes pleinement conscients de l’enjeu de la télémédecine par rapport à l’accès des patients à la bonne information. Nous n’oublions pas la fracture numérique dans les soins de santé. Nous souhaitons combattre cette réalité afin que les patients puissent bénéficier des meilleurs soins de santé avec les technologies adaptées, et ce en connaissance de cause. MSD Belgium est depuis plusieurs années fortement investi dans la Health Litteracy avec l'initiative “HealthNest”, et cet aspect est pris en compte dans tout nouveau projet d’innovation.<span class="rquote"> </span></em></p><p class="small_txt"><strong>Ceci est une communication des laboratoires MSD.
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Ce numéro a été réalisé grâce au support de MSD. Son contenu reflète l’opinion des auteurs mais pas nécessairement celle de MSD.</strong></p></div></div>/static/mcibe/images/azèle_mathieu_banner.pngNo/static/mcibe/images/azèle_mathieu_thumb.png<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Depuis 3 mois, Azèle Mathieu s’est engagée dans un nouveau défi en rejoignant l’équipe d’Eric Montariol...</p>hospitalconnect_fr/static/mcibe/images/azèle_mathieu_thumb.pngpublishDateTime2021-03-23T07:15:17assetIdtcm:5568-1234995pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotYespublicationdate2021-02-19codexLast date of revision 02/2021 - BE-NON-00759typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1235057asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-12350082021, une année prometteuse pour la télémédecine<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><img src="/static/mcibe/images/veelbelovend.png" /><h2 class="sub-head-h">Crise du coronavirus aidant, la télémédecine et les téléconsultations ont connu au cours des derniers mois un sérieux coup d’accélérateur. Le tout est à présent de consolider quelques initiatives prometteuses sur le plan tant qualitatif que financier, comme le recommande notamment le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE). Où en sommes-nous dans notre pays?</h2><p>Sous l’effet de la pandémie, les consultations à distance par (vidéo)téléphonie ont soudain été largement autorisées et remboursées, et ce non seulement en Belgique mais un peu partout dans le monde. Le nouvel accord conclu pour 2021 entre médecins et mutuelles comporte quelques passages qui touchent à l’exploration et à la promotion des possibilités de la télémédecine.</p><p>Mi-2020, un groupe de travail soins numériques a également été institué dans le giron du Comité de l’Assurance de l’Inami. Il a notamment réalisé une enquête sur l’expérience des différents groupes-cibles, relayée dans le <a style="color: #0000ff; text-decoration:underline; font-size:16px;" href="https://kce.fgov.be/fr/soins-de-sant%C3%A9-les-vid%C3%A9o-consultations-doivent-%C3%AAtre-encourag%C3%A9es" target="_blank">rapport 328B du KCE</a>. Le Centre d’Expertise recommande également de profiter de la dynamique actuelle pour poursuivre l’introduction de ces soins <span class="lquote"> </span>numériques<span class="rquote"> </span>, qui peuvent offrir un complément utile à la consultation en face-à-face – mais sans pour autant s’y substituer, et toujours moyennant le consentement éclairé du patient</p><p>Les conséquences concrètes ne se sont pas fait attendre: un cadre légal pour ces prestations de télémédecine devrait voir le jour dès le premier semestre de cette année et, en attendant, les honoraires introduits à titre temporaire restent d’application.</p><p><strong>Télédermatologie et télé-ophtalmologie</strong><br /><a style="color: #0000ff; text-decoration:underline; font-size:16px;" href="https://www.inami.fgov.be/fr/professionnels/sante/medecins/soins/Pages/tele-expertise-projet-pilote-dermatologie.aspx" target="_blank">Un projet-pilote de l’Inami en télédermatologie</a> est en cours depuis un moment déjà, et il a clairement le vent en poupe. Il serait sans doute plus juste de parler ici de télé-expertise, puisqu’il est question d’un système qui permet à plusieurs prestataires de se concerter à distance autour du cas d’un patient spécifique sans que ce dernier ne doive nécessairement être présent. Une nouvelle approche est actuellement à l’étude, où trois parties (patient, généraliste et spécialiste) pourront échanger des informations médicales et des photos par le biais de canaux de communication sécurisés en vue du diagnostic, du traitement ou de la prévention des maladies de la peau. Les premières de ces télé-expertises s’étaleront sur une durée d’un an maximum; l’objectif est d’en réaliser 2.000.</p><p>Un projet similaire a également été lancé entre-temps dans le domaine de l’ophtalmologie, là aussi dans le but de développer le recours à la télé-expertise entre médecins.</p><p><strong>Suivi des patients Covid</strong><br />
Le suivi à domicile des patients Covid est une autre application du principe du télémonitoring. L’hôpital universitaire d’Anvers (UZ Antwerpen) a ainsi lancé le mois dernier son initiative <span class="lquote"> </span><a style="color: #0000ff; text-decoration:underline; font-size:16px;" href="https://www.uza.be/telecovid" target="_blank">Telecovid</a><span class="rquote"> </span>, un projet de suivi à distance organisé en collaboration avec la première ligne. À ce stade, il inclut déjà plus de 320 patients qui, comme l’a expliqué à <em>NumeriKare</em> le directeur médical de l’UZ Antwerpen Guy Hans, relèvent de deux catégories: d’une part, un groupe de personnes qui n’ont pas (encore) été admises à l’hôpital, de l’autre, un groupe de sujets hospitalisés à qui le télémonitoring permet de rentrer plus rapidement chez eux pour y être suivis par les médecins hospitaliers et généralistes.</p><p>L’AZ Maria Middelares à Gand suit également des patients Covid à domicile par télémonitoring. Celui-ci se base sur la plateforme <a style="color: #0000ff; text-decoration:underline; font-size:16px;" href="https://mhealthbelgium.be/fr/toutes-les-apps/app-details/wellhome" target="_blank">Well@Home</a> de <a style="color: #0000ff; text-decoration:underline; font-size:16px;" href="https://bewellinnovations.com/#!" target="_blank">BeWell Innovations</a>, classée au niveau M2 dans la <a style="color: #0000ff; text-decoration:underline; font-size:16px;" href="https://mhealthbelgium.be/fr/pyramide-de-validation" target="_blank">pyramide de validation</a> de mHealth Belgium. Le lien avec l’hôpital est entretenu à distance, mais l’équipe d’urgence médicale de l’AZ Maria Middelares est toujours prête à intervenir. Les généralistes participants reçoivent également un aperçu quotidien qui leur permet d’assurer à leurs patients un suivi proactif.</p><p>Suivant l’état du malade, le télémonitoring peut aussi être mis en place en concertation avec les infirmiers à domicile de la Croix Jaune et Blanche et le médecin (de famille).</p><p>Citons aussi <u>l’application SafeLink</u>, développée en 2020 entre autres par les Réseaux Santé Wallon (RSW) et Bruxellois (RSB) et qui a attiré quelque 1.800 médecins généralistes.</p><p><strong>Covid, mais aussi d’autres pathologies</strong><br />
Enfin, il y a <u>CovidCare@Home</u>, un projet de suivi des patients Covid à domicile mis en place en Flandre par le Dr Pieter Vandervoort (ZOL) dans des hôpitaux du Limbourg. Il a été lancé dans le but de soulager les structures de santé au cours de la seconde vague de la pandémie et de pouvoir réserver les lits d’hôpital aux patients les plus gravement atteints. Grâce au succès de l’application utilisée et développée par <u><em>Byteflies</em></u>, une firme spécialisée dans les dispositifs portables pour le monitoring des patients, l’Inami s’apprête à présent à investiguer, <u>dans un projet-pilote à grande échelle</u>, dans quelle mesure ce suivi à distance pourrait également présenter un intérêt pour d’autres types de patients dans le futur.</p><p class="small_txt"><strong>Ceci est une communication des laboratoires MSD.
<br />
Ce numéro a été réalisé grâce au support de MSD. Son contenu reflète l’opinion des auteurs mais pas nécessairement celle de MSD.</strong></p></div></div>/static/mcibe/images/veelbelovend_banner.pngNo/static/mcibe/images/veelbelovend_thumb.png<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Crise du coronavirus aidant, la télémédecine et les téléconsultations ont connu au cours...</p>hospitalconnect_fr/static/mcibe/images/veelbelovend_thumb.pngpublishDateTime2021-03-23T07:22:47assetIdtcm:5568-1235008pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotYespublicationdate2021-02-19codexLast date of revision 02/2021 - BE-NON-00759typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1235053asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1235009Enquête: Baromètre de la maturité de l’intelligence artificielle dans les hôpitaux<div class="details-content" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="ai-image"><img src="/static/mcibe/images/artificial-intellegence.jpg" /></div><h2 class="sub-head-h" style="color:#37414a;"><strong>Depuis 2 ans, à l’initiative d’Alexander De Croo, ministre à l’époque de l’Agenda numérique, un groupe d’experts s’investit dans la réflexion du développement de l’intelligence artificielle (IA) en Belgique. AI4Belgium naissait. Un volet santé de ce projet a été lancé: AI4Health. Il est co-dirigé par le Dr Giovanni Briganti. Ce dernier explique aujourd’hui dans une courte vidéo pourquoi répondre à l’enquête sur la maturité de l’IA dans les hôpitaux de Belgique.</strong></h2><p>L’intelligence artificielle (IA) est un défi important pour le développement de la santé numérique. L’IA est déjà présente dans le monde de la santé et fait de plus en plus son entrée dans les services hospitaliers. Mais comment les médecins, les gestionnaires, la direction informatique ou autres responsables hospitaliers la perçoivent-ils ? Quelles sont leurs attentes, leurs craintes? Ont-ils déjà mis en en œuvre des dispositifs d’IA dans leurs établissements?</p><p class="mrg_top">Ce sont quelques questions auxquelles l’organisation AI4Belgium en collaboration avec <em>Le Spécialiste</em> et avec le support du cabinet EY demandent de répondre. Les réponses permettront d’établir un baromètre de l’IA dans les hôpitaux belges. Il présentera un état des lieux objectif, et fournira une synthèse de la perception, des besoins et des souhaits exprimés par les acteurs de terrain. Il viendra compléter les travaux déjà engagés par AI4Belgium et constituera une étape fondamentale et indispensable dans la définition d’une stratégie et l’élaboration d’un plan d'action spécifique au développement de l’intelligence artificielle dans le secteur de la santé.</p><p>Chaque répondant recevra une invitation à un symposium organisé en avril sur le sujet par AI4Belgium ainsi que le rapport complet de cette enquête. Une synthèse sera publiée dans une édition spéciale du journal <em>Le Spécialiste</em> et dans MSD Hospital Connect.</p><p>Enseignant l’IA à l’UMons et à l’ULB, et la physiologie à Lausanne, médecin et expert en IA dans le domaine de la santé à l’ULB, le Dr Giovanni Briganti veut apporter son expertise dans ce projet. <span class="lquote"> </span><em>Ma volonté est de créer des ponts entre les médecins, les hôpitaux et les entreprises. Chacun doit mieux comprendre les défis des autres. Aujourd’hui, Il y a des gros problèmes avec des solutions qui ne sont pas assez robustes pour la pratique clinique. Il est donc temps d’améliorer l’écoute entre les acteurs pour optimaliser la technologie. L’IA a tellement de potentiel pour améliorer la qualité des soins pour le patient, le travail pour le médecin et les processus pour l’hôpital.</em><span class="rquote"> </span></p><h3 style="color: #37414a;">> Pour répondre à l’enquête, <a href="https://fr.surveymonkey.com/r/YWT3RZZ" target="_blank" style="font-size:18px; text-decoration:underline;color:#37414a;"><strong>cliquez ici.</strong></a></h3><div class="video_image medvid"><!--
<div data-vid="6233589980001" data-vtype="2" data-title="Dr-Briganti-2" class="video_marg"><img src="/static/mcibe/images/Dr_Giovanni_Briganti.png" alt="Dr_Giovanni_Briganti" data-tracking-datalayer="{"event_category":"video","event_action":"access","event_label":"Neuromuscular transmission in clinical practice"}"/></div>--><video class="video-js" data-account="1905768940001" data-player="Bygqsn81yb" data-embed="default" controls="" data-video-id="6233589980001" data-playlist-id="" data-application-id="" /></div><p>Du 15 au 19 mars 2021 se tiendra la semaine belge de l'intelligence artificielle.</p><br /><p style="font-size:14px; color:#37414a;"><strong>Ceci est une communication des laboratoires MSD.</strong><br /><strong>Ce numéro a été réalisé grâce au support de MSD. Son contenu reflète l’opinion des auteurs mais pas nécessairement celle de MSD.</strong></p></div>/static/mcibe/images/ai_thumb.jpg<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Depuis 2 ans, à l’initiative d’Alexander De Croo, ministre à l’époque de l’Agenda numérique, un groupe d’experts..</p>hospitalconnect_fr/static/mcibe/images/ai_thumb.jpgpublishDateTime2021-02-26T09:36:40assetIdtcm:5568-1235009pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotYespublicationdate2021-02-19codexLast date of revision 02/2021 - BE-NON-00759typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1235062asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1235162Dépistage du cancer du côlon: les esprits sont-ils mûrs dans les hôpitaux?<div class="details-content" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="ai-image"><img src="/static/mcibe/images/doctor_with_blue_symbol.jpg" /></div><h2 class="sub-head-h" style="color:#37414a;"><strong>Le mois international du cancer colorectal (également connu sous le nom de Mars Bleu) est à nos portes. Comment sensibiliser les hôpitaux à cette problématique? Où en sommes-nous aujourd’hui dans la lutte contre cette maladie? Le Dr Luc Colemont, de l’asbl Stop Darmkanker/Stop Cancer Côlon, était l’interlocuteur idéal pour répondre à ces questions.</strong></h2><p>La sensibilisation au cancer colorectal dans les hôpitaux a beaucoup progressé depuis quelques années. Il y a une décennie à peine, c’était pourtant encore loin d’être une évidence, se souvient le Dr Colemont. Avant même de lancer lui-même <a href="https://stopcancercolon.be/" target="_blank" style="font-size:16px;text-decoration:underline;color:#00a1d9;">Stop Cancer Côlon</a>, il avait déjà demandé au président du conseil d’administration du GZA Ziekenhuizen de mettre en place des initiatives dans ce domaine, pour sensibiliser en première instance son propre personnel hospitalier.</p><p>Il a également suggéré d’organiser un symposium thématique destiné aux généralistes, ce qui a été accepté à condition qu’il s’en occupe lui-même.</p><p>La sensibilisation du personnel fut une toute autre paire de manches. <span class="lquote"> </span><em>À l’époque, en 2011, le test coûtait 5 euros par personne. J’ai pu calculer qu’environ 750 collaborateurs de l’hôpital étaient concernés (étant âgés de plus de 50 ans), ce qui représentait un budget d’un peu moins de 4.000 euros; on m’a répondu que c’était trop. On peut évidemment arguer qu’il y a une foule de journées et semaines thématiques à mettre à l’honneur… mais n’oublions tout de même pas que nous parlons ici d’une maladie à laquelle 1 personne sur 20 sera confrontée à un moment ou l’autre de sa vie, y compris dans nos équipes!</em><span class="rquote"> </span></p><h3 style="margin-bottom:0px; color:#37414a"><strong>Plein d’idées</strong></h3><p style="margin-top:0px;">Entre-temps, les mentalités ont sensiblement évolué; Stop Cancer Côlon, notamment, est clairement venue changer la donne. L’asbl multiplie les initiatives originales et, sur ce plan, le Dr Colemont ne manque jamais d’idées. <span class="lquote"> </span><em>Les actions organisées à l’hôpital ne demandent pas forcément un gros budget. À cette période de l’année encore relativement sombre, on peut par exemple braquer des spots bleus sur le bâtiment tout au long du mois de mars pour symboliser la lutte contre le cancer du côlon. Les gens vont se demander pourquoi, et de fil en aiguille, le problème va gagner en notoriété. C’est ce que fait depuis 3 ans la commune de Schelle en province d’Anvers en illuminant de bleu sa maison communale. On peut aussi par exemple épingler un ruban bleu sur la blouse blanche du personnel de santé. Avouez qu’on ne peut rêver plus beau contraste!</em><span class="rquote"> </span></p><p style="margin-bottom:0px;">À ce jour, Stop Cancer Côlon est sans doute le meilleur exemple d’une initiative de sensibilisation réussie, en grande partie grâce aux réseaux sociaux: suivie par plus de 130.000 personnes sur Facebook, l’asbl a déjà organisé sur la plateforme plus de 40 séances <span class="lquote"> </span>live<span class="rquote"> </span>, toujours le mercredi à 17h.</p><p>Les hôpitaux intéressés peuvent également s’adresser à l’asbl pour obtenir du matériel d’information et de sensibilisation. <span class="lquote"> </span><em>Nous avons nos propres brochures et dépliants, un tableau explicatif et même une BD. Il reste clairement du pain sur la planche. L’information et l’éducation sont les premiers pas dans la lutte contre le cancer du côlon… Et moi qui suis encore beaucoup sur le terrain, même si je garde actuellement surtout le contact par le biais de webinaires, je peux vous dire que de nombreuses personnes n’en connaissent même pas les bases.</em><span class="rquote"> </span></p><h3 style="margin-bottom:0px; color:#37414a;"><strong>Le cancer du côlon rajeunit</strong></h3><p style="margin-top:0px;">Ce que peuvent faire les hôpitaux? <span class="lquote"> </span><em>Mieux faire prendre conscience au public des possibilités de dépistage. D’après une étude italienne, si les gens ne participent pas au screening, c’est avant tout parce qu’ils n’ont généralement pas conscience de son importance.</em><span class="rquote"> </span></p><p>Le cancer colorectal touche aussi une population de plus en plus jeune, poursuit le gastroentérologue. Cette évolution est manifeste partout dans le monde… Mais quant à savoir si elle tient à l’alimentation, à l’immunité, à la pollution ou à la flore intestinale, cela reste jusqu’ici un mystère. La tendance n’est pas (encore) clairement perceptible dans les chiffres du gouvernement flamand, qui ne vont que jusqu’à 2014, mais le Dr Colemont n’en est pas moins convaincu qu’il pourrait être opportun d’abaisser l’âge du dépistage à 45 ans – un moment de la vie où un diagnostic précoce peut faire une énorme différence en termes de coûts et de souffrances humaines.</p><p style="margin-bottom:0px;">À ce stade, rares sont les pays à satisfaire aux critères européens, qui prévoient de proposer un screening aux personnes des deux sexes entre 50 et 74 ans… Et depuis l’an dernier, la Belgique en fait partie.</p><p>Le taux de participation reste par contre largement améliorable. En Flandre, où le dépistage de population a été lancé fin 2013 et est envoyé directement aux intéressés par la poste, il s’élève à 51,1%.</p><p>En Wallonie, où le dépistage existe depuis 2009, le taux de participation n’atteignait pas 20% en 2016. Précisons néanmoins que, pour le premier test, les personnes intéressées doivent d’abord se rendre chez leur médecin de famille; ce n’est qu’à partir de la deuxième fois que le kit peut leur être envoyé.</p><p style="margin-top:0px;">Le système est encore différent à Bruxelles, où le kit peut être obtenu en pharmacie depuis 2018. La coexistence de trois approches différentes dans un mouchoir de poche comme la Belgique ne fait évidemment rien pour améliorer l’organisation et l’enregistrement des tests. <span class="lquote"> </span><em>Et j’ai bien du mal à expliquer le pourquoi de cette réalité au-delà de nos frontières</em><span class="rquote"> </span>, soupire le médecin.</p><p style="font-size:14px; color:#37414a;"><strong>Ceci est une communication des laboratoires MSD.</strong><br /><strong>Ce numéro a été réalisé grâce au support de MSD. Son contenu reflète l’opinion des auteurs mais pas nécessairement celle de MSD.</strong></p></div>/static/mcibe/images/doctor_with_blue_symbol-thumb.jpg<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Le mois international du cancer colorectal..</p>hospitalconnect_fr/static/mcibe/images/doctor_with_blue_symbol-thumb.jpgpublishDateTime2021-02-24T18:55:04assetIdtcm:5568-1235162pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotpublicationdate2021-02-19codexLast date of revision 02/2021 - BE-NON-00759typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1235132asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1242571Où sont les femmes?<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><div class="video_image medvid"><video class="video-js" data-account="1905768940001" data-player="Bygqsn81yb" data-embed="default" controls="" data-video-id="6242982842001" data-playlist-id="" data-application-id="" /></div><p>Nous avons rencontré le Dr Florence Hut, directrice médicale du Centre Hospitalier Wallonie Picarde (Tournai), afin qu’elle nous fasse part de son ressenti face à l’absence incompréhensible des femmes au sein des postes à responsabilités tant dans les hôpitaux que dans les organes de représentation du corps médical. Une belle remise en question en 2021… (Lire aussi sa Tribune<a href="https://www.lespecialiste.be/fr/debats/des-femmes-medecins-invisibles-dr-florence-hut.html" style="color: #0000ff; text-decoration:underline; font-size:16px;" target="_blank"> <em>Des femmes médecins invisibles</em></a> dans <em>Le Spécialiste</em>).</p><p class="small_txt"><strong>Ce numéro a été réalisé grâce au support de MSD. Son contenu reflète l’opinion des auteurs mais pas nécessairement celle de MSD.</strong></p></div></div>/static/mcibe/images/Dr_Florence-thumb1.png<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Nous avons rencontré le Dr Florence Hut, directrice médicale du Centre Hospitalier Wallonie Picarde../p></p>hospitalconnect_fr/static/mcibe/images/Dr_Florence-thumb1.pngpublishDateTime2021-03-26T07:39:15assetIdtcm:5568-1242571pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotpublicationdate2021-03-24codexLast date of revision 03/2021 - BE-NON-00794typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1242553asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1242648Trajet budgétaire 2022-2024: les 3 axes que veut suivre Frank Vandenbroucke<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><img src="/static/mcibe/images/trajet-img1.png" class="img-fluid" /><h2 class="sub-head-h" style="color:#37414a;"><strong>Début mars s’est tenu, sous l’égide de l’Inami, le <span class="lquote"> </span>kick-off meeting trajet budgétaire 2022-2024 assurance maladie<span class="rquote"> </span>. De quoi parle-t-on concrètement? D’un grand chantier aux délais serrés qui doit conduire à des réformes dans les soins et la façon de les budgéter. Frank Vandenbroucke voit 3 axes stratégiques à suivre: travailler sur l’accessibilité, les soins primaires et l’intégration entre lignes.</strong></h2><p>Ce que l’Inami a lancé en (télé)présence de plusieurs centaines de stakeholders ce 1er mars, ce sont de vastes travaux qui tendent à une trajectoire budgétaire 2022-2024 stable pour les soins de santé, en mettant l’accent sur l’efficacité et la performance du système. Le point de départ est d’utiliser la marge financière créée par l’augmentation de la norme légale de croissance pour prendre des initiatives basées sur des objectifs de santé prioritaires – qui restent à définir.</p><p>Le calendrier est serré. Il s’agit, d’ici juin, de cerner les dits objectifs pour la période 2022-2024, de travailler sur les <span class="lquote"> </span>soins efficaces<span class="rquote"> </span> et de plancher sur un cadre budgétaire pluriannuel dynamique. Soit 3 champs de réflexion pilotés respectivement par les Dr Ceuppens (Mutualités Libres) et Ventura (président de l’Association francophone des médecins-chefs), et le Professeur émérite d’économie de la santé Erik Schokkaert. Fin juin, ces cellules accoucheront d’une première ébauche de budget 2022. De là, les commissions de convention (dont la médico-mut) élaboreront une proposition à soumettre au Comité de l’assurance selon le calendrier classique, donc en octobre.</p><p>Pour le ministre Vandenbroucke, <span class="lquote"> </span><em>le gouvernement a décidé d’investir de manière substantielle dans l’assurance maladie (…) Cependant, ces importants efforts budgétaires supplémentaires ne sont pas sans contrepartie. Ils ne peuvent pas servir uniquement à financer les activités habituelles, mais ils doivent permettre de nouvelles initiatives et réformes en matière de soins.</em><span class="rquote"> </span></p><p><strong>Les 3 axes prônés par le cabinet</strong></p><p>L’éminence sp.a voit 3 axes stratégiques à suivre dans ces réformes. Primo, il faut éliminer les inégalités dans l’accès aux soins, dit-il. Pour ce faire, les mesures à envisager sont par exemple le renforcement du maximum à facturer, l’automatisation de l’accès aux droits, l’élargissement du tiers payant… ou <span class="lquote"> </span>encore des accords tarifaires équilibrés qui conduisent à un taux de conventionnement plus élevé<span class="rquote"> </span>, et de là, à une plus grande sécurité tarifaire pour le patient.</p><p>Secundo, face au nombre croissant de personnes qui souffrent de problèmes de santé chroniques et multiples, Frank Vandenbroucke propose de renforcer les soins de santé primaires, <span class="lquote"> </span><em>en mettant l’accent sur la 1ère ligne, la prévention et l’autonomisation</em>.<span class="rquote"> </span> Il cite des programmes multidisciplinaires au niveau local, qu’il s’agisse – par exemple – de prévention, de promotion de la santé, d’une fonction psychologique de 1<sup>ère</sup> ligne, de case management ou de revue de médication.</p><p>Tertio, il prône de <span class="lquote"> </span><em>se concentrer sur les soins en réseau autour du patient</em><span class="rquote"> </span>, en misant notamment sur davantage d’intégration entre l’offre de soins de 1ère ligne et de 2e ligne. Ainsi évoque-t-il <em>«des trajets de soins transmuraux en collaboration avec les hôpitaux</em><span class="rquote"> </span>, mais aussi des outils tels que le télémonitoring et la télémédecine, ou un dossier multidisciplinaire partagé.</p><p>D’après le ministre de la Santé, ces axes de changement doivent être <span class="lquote"> </span><em>soutenus par de nouveaux modèles de financement</em><span class="rquote"> </span>, l’actuelle rétribution à l’acte ayant, dit-il, atteint ses limites. <span class="lquote"> </span><em>Nous devons évoluer vers un modèle de financement à plusieurs degrés, composé d’éléments tels que le financement à la capitation, le financement par pratique, le financement à l’innovation, le financement par prestation, etc. Nous devons oser explorer comment un financement groupé des prestataires de soins basé sur les coûts attendus des soins peut être pertinent.</em><span class="rquote"> </span></p><p>> <strong>Lire <a href="https://gcm.rmnet.be/clients/rmnet/content/medias/pdf/speech_fvdb_kickoff_01032021_fr__1_.pdf" target="_blank">le discours de Frank Vandenbroucke</a></strong></p><p class="small_txt"><strong>Ce numéro a été réalisé grâce au support de MSD. Son contenu reflète l’opinion des auteurs mais pas nécessairement celle de MSD.</strong></p></div></div>/static/mcibe/images/trajet-img-thumb1.png<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Début mars s’est tenu, sous l’égide de l’Inami, le «kick-off meeting trajet budgétaire..</p>hospitalconnect_fr/static/mcibe/images/trajet-img-thumb1.pngpublishDateTime2021-03-26T07:39:15assetIdtcm:5568-1242648pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotpublicationdate2021-03-23codexLast date of revision 03/2021 - BE-NON-00794typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1242707asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00tcm:5568-1242712Qu’est-ce qu’un Patient Experience Officer?<div class="newsroom_box" xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance"><div class="details-content"><img src="/static/mcibe/images/patient-expt-img1.png" class="img-fluid" /><h2 class="sub-head-h" style="color:#37414a;">Il y a trois ans, l’hôpital Jessa d’Hasselt annonçait l’entrée en fonction d’Ulrike Pypops, la toute première <em>Patient Experience Officer</em> active dans un établissement de soins belge… et lorsqu’on s’arrête avec elle sur le chemin parcouru, il est clair que ce n’était pas un simple coup de pub, même si elle a parfois dû déployer en cours de route des trésors de psychologie et de diplomatie.</h2><p>Lors de la création de cette nouvelle fonction, le CEO Yves Breysem affirmait vouloir donner ainsi une voix aux patients et à leurs proches dans la politique de l’hôpital. <span class="lquote"> </span><em>Les patients doivent arriver chez nous pleins de confiance et être en mesure de reprendre le fil de leur vie d’une façon la plus qualitative possible lorsqu’ils rentrent chez eux</em><span class="rquote"> </span>, déclarait à l’époque Ulrike Pypops. Le grand défi était pour elle de transposer la position du patient dans un plan d’action concret qui permettrait de faire la différence en termes de perception et de vécu du cadre hospitalier.</p><p>Après avoir été notamment directrice adjointe de l’association MUCO belge, elle sait clairement de quoi elle parle. <span class="lquote"> </span><em>J’ai aujourd’hui un large éventail de tâches qui reposent sur l’expérience qu’ont les patients de la préparation à l’hospitalisation, du séjour proprement dit et du suivi ultérieur, l’objectif étant de parvenir à un continuum de soins.</em><span class="rquote"> </span></p><p><span class="lquote"> </span><em>Ce qui a changé depuis mon arrivée, c’est surtout l’angle d’approche. Alors que le patient était autrefois considéré comme le partenaire de l’hôpital, c’est aujourd’hui Jessa qui est le partenaire du patient.</em><span class="rquote"> </span> Un virage psychologique à 180°, donc! Le point de vue du patient est aussi pris en compte de façon plus large grâce à l’organisation de panels. Un exemple? <span class="lquote"> </span><em>Pour affiner l’anamnèse chez les plus de 75 ans, nous avons collaboré avec les premiers concernés et leurs aidants proches. Alors que l’objectif était autrefois que le patient soit capable de marcher une certaine distance à sa sortie de clinique, aujourd’hui, nous voulons qu’il puisse aller chercher ses petits-enfants à l’école.</em><span class="rquote"> </span></p><p><span class="lquote"> </span><em>Idem pour les problèmes de mastication et de déglutition: nous avons formulé pour le retour à domicile des conseils pratiques sur la base non seulement de ce que le patient peut encore manger, mais aussi et surtout de ce qu’il veut encore manger.</em><span class="rquote"> </span><br />
Le panel se compose de prestataires de soins et de patients qui sont tous placés sur un pied d’égalité. Prenons par exemple la gériatrie: l’approche actuelle transcende les six départements qui existent dans ce domaine pour parvenir à une politique commune à l’ensemble de l’hôpital. Ulrike Pypops met aussi un point d’honneur à être attentive aux proches, ce qui a débouché sur la rédaction d’une brochure destinée aux patients, mais aussi dd’un dépliant pour leur entourage.</p><p>Dans le contexte pandémique que l’on sait, l’organisation de panels en gériatrie n’est pas une mince affaire. Les participants ont eu besoin d’un coup de main pour se réunir à distance, mais tout a fini par se mettre en place.
<br /><span class="lquote"> </span><em>Des experts du vécu bénévoles vont prochainement être mobilisés dans trois services. Une personne qui a connu une problématique de l’intérieur possède à la fois une expérience directe et des aptitudes professionnelles, ce qui en fait pour les malades un soutien supplémentaire et un pont vers les soignants</em><span class="rquote"> </span>, explique-t-elle. Elle-même peut s’appuyer sur sa longue expérience dans la représentation des patients. <span class="lquote"> </span><em>J’ai grandi avec ma fonction, qui gagne peu à peu en importance. Lorsque j’exprime un avis, il s’appuie toujours sur une solide connaissance des dossiers. Je ne suis toutefois pas une sorte de Don Quichotte qui agit seule contre tous et je peux compter sur le soutien de la direction. Il est logique que certaines propositions suscitent une opposition. Il faut alors pouvoir réagir d’une façon nuancée. Je ne vais jamais ergoter juste pour le plaisir.</em><span class="rquote"> </span></p><p class="small_txt"><strong>Ce numéro a été réalisé grâce au support de MSD. Son contenu reflète l’opinion des auteurs mais pas nécessairement celle de MSD.</strong></p></div></div>/static/mcibe/images/patient-expt-thumb1.png<p xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:tcm="http://www.tridion.com/ContentManager/5.0" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink" xmlns:i="http://www.w3.org/2001/XMLSchema-instance">Il y a trois ans, l’hôpital Jessa d’Hasselt annonçait l’entrée en fonction d’Ulrike Pypops, la toute première..</p>hospitalconnect_fr/static/mcibe/images/patient-expt-thumb1.pngpublishDateTime2021-03-26T07:39:14assetIdtcm:5568-1242712pathologieslocalproductnameglobalproductnamekeywordsspecialityexpirationdatehotpublicationdate2021-03-23codexLast date of revision 03/2021 - BE-NON-00794typeofcontentBlogengagementtypeinternationalproductnameareacustomertypetargetaudiencetherapeuticgroupassettypeassetfranchiseGenericMeta1 (CountrySpecific)tcm:5566-1242747asset_descriptionasset_purposeasset_content_classificationasset_accessibilityasset_publisherreadtimehashtagsseoUrl00